vendredi 21 novembre 2008

Jamais sans mon repertoire : Bouygues fait un jeu télé sur portable sur le net



Aprés non stop joe de SFR, c'est à Bouygues de s'inspirer de la TV, avec ce jeu inspiré de qui veut gagner des millions : le principe est basique, des questions posées à des amis dont on donne le t°, la consécration est dans le passage à l'écran, avec une miss "gros nénés" à roulettes. Trés créatif, c'est sur. Merci aux plombiers qui ont fait les raccordements (Un concept Tribal DDB Paris / Endemol initié par : Thomas CLEMENT - Jérôme DUCHAMPS - Lionel ABBO). Enfin, on a de quoi s'instruire.

Les bourses chutent Dubaï s'enflamme... Inauguration Atlantis The Palm Hotel, Dubai


Le plus grand feu d'artifice au monde, visible depuis un sattelite, pour un hotel de plus d'un milliard de $.
Au fait, Dubaï, un rêve pour architecte ?
a voir la Burjdubai tower + de 650 m de haut... http://www.burjdubai.com/

Soutien gorge pour homme


faut qu'on m'explique le marketing...

lundi 17 novembre 2008

Architecures non standards

Il n'est pas question,là, simplement d'architecture numérique ou d'une exposition d'architectes du "virtuel" préoccupés principalement par des questions de représentation (virtualité, hyperespace), mais de s'intéresser aux modifications de l'industrialisation de l'architecture.

L'utilisation généralisée d'applications basées sur les systèmes algorythmiques suppose des transformations des outils de conception et de production.
Une architecture "non standard" est une réflexion sur le langage de cette discipline ainsi que sur son champ d'application à partir de l'exploration des éléments numériques.
A la construction traditionnelle peut s'opposer aujourd'hui une production par prototypage d'éléments préfabriqués de l'architecture.

La notion de "non standard" est apparue en mathématiques en 1961 avec les travaux d'Abraham Robinson. Les implications en sont multiples et touchent à toutes les disciplines où des systèmes algorythmiques peuvent être appliqués, par exemple l'intelligence artificielle, mais aussi la morphogénétique (le développement des formes).
La question ici posée est de savoir comment la chaîne numérique, tout comme dans le domaine de l'édition, a changé toute l'économie de la production architecturale, de la conception à la réalisation.

L'exposition propose de rendre visibles des "process" architecturaux, depuis les éléments de conception jusqu'aux prototypes ou aux objets expérimentaux.
Elle propose aussi une relecture de l'histoire de l'art et de l'architecture selon l'idée de mouvement et d'inflexion.
Entre projets aboutis et projets à caractère expérimental, chaque équipe d'architectes présente quatre programmes illustrant le dynamisme de leurs recherches sous différentes formes : DVDs, maquettes, panneaux, animations, installations...
Collectionneuse, Natalie Seroussi a décidé de projeter une maison destinée à accueillir sa collection d’art contemporain et a commandité un concours composé de six agences dont les projets seront exposés à la maison rouge.

La construction de ce pavillon viendra s’ajouter à un ensemble architectural remarquable réalisé par l’architecte, sculpteur, peintre, et fondateur de la revue L'Architecture d'Aujourd'hui, André Bloc (1895-1966) : une vaste résidence-atelier (construite en 1949/50) qu’il a occupée, et deux constructions énigmatiques, les « sculptures habitacles » (1964 et 1966), qui concrétisent ses idées sur la synthèse entre l’architecture et la sculpture dans une « forme libre ». La référence à André Bloc et à l’architecture expérimentale qu’il a défendu et incarné, a guidé le choix des six agences invitées : Biot(h)ing/Alisa Andrasek ; EZCT Architecture & Design Research/Philippe Morel, Felix Agid, Jelle Feringa ; Gramazio/Köhler/Fabio Gramazio, Matthias Köhler ; DORA/Peter Macapia ; ijp corporation/George L. Legendre ; Xefirotarch/ Hernan Diaz Alonzo. Ces architectes sont aujourd’hui les tenants d’un nouveau courant d’architecture où les formes sont générées à partir de processus mécanisés permis par l’informatique que l’on nomme « processus computationnels ».

Pour cette commande, les projets doivent non seulement entrer en dialogue avec le patrimoine architectural en place, mais aussi s’articuler avec la problématique de la collection privée. La réflexion engagée par ces architectes interroge un type de regard singulier porté sur les œuvres, celui du collectionneur sur sa collection, et suggère la mise en place de dispositifs architecturaux spécifiques.

« vue à la première personne » deuxième partie d'Etienne Mineur

« vue à la première personne » deuxième partie

Appel d'offre mascotte CompeteFor - London 2012 Olympic games


Londres recherche ses mascottes pour les jeux olympics.

A lire l'excellent article d'Etienne Mineur sur les ogos Beijing / Londres
cliquez ici.

jeudi 13 novembre 2008

Le cassoulet roi de New York pour la victoire d'Obama

Publié le 08/11/2008 08:41 | Philippe Rioux Ladepeche.fr

Une banderole déployée par le « Petit journal » de Canal + à Time Square a fait le tour des télés américaines et d'internet.

Le cassoulet roi de New York pour la victoire d'Obama
DDM

Le 4 novembre dernier, durant la soirée électorale de la présidentielle américaine, Time Square, la plus emblématique des places de New York, a accueilli non pas une mais deux vedettes : Barack Obama, le candidat démocrate qui devenait le premier président Noir des États-Unis et… le cassoulet !

Aussi incroyable que cela puisse paraître, la spécialité de notre Grand Sud a fait irruption dans les émissions télé des grandes chaînes américaines et a suscité un buzz incroyable sur internet, après qu'une énorme banderole où était inscrit « Cassoulet » a été déployée au beau milieu d'une foule compacte de milliers d'Américains en liesse célébrant la victoire d'Obama. Cette histoire insolite au cœur de la grande Histoire, on la doit aux joyeux drilles du « Petit Journal People » de Yann Barthes, la séquence humoristique du « Grand Journal » de Canal Plus.

Juste géniale : Olga Kisseleva ou la question du modèle sociétal

LienVoici une séléction d'artiste representant notre quotidien de manière visionnaire. Olga nous invite à un jeu sur les modèles structurants nos sociétes contemporaines, en usant des techniques les plus avancées.

A voir aussi Ghost walk de Reynald Drouin (http://reynald.incident.net/archive/mcd-49/ Générateur de villes fantômes qui transforme l’adresse IP des internautes en buildings monochromes, I.P.C. est davantage un archipel numérique qu’une cité. Les différentes visualisations d’ I.P.C. correspondent aux 256 dernières connexions enregistrées. Des internautes du monde entier cohabitent dans ce cyberterritoire sans le savoir : leurs n° IP les situent en Corée, en Chine, aux Etats-Unis, en Australie, etc.)
Une artiste découverte sur l'excellent site http://www.artank.fr/.

mercredi 12 novembre 2008

Benjamin Emrik, un DA à la marge


Rencontré lors de son diplôme en 2002 à Penninghen, je me suis penché sur son site pour y découvrir un vrai talent : déjà en 2002, j'avais été séduit par sa dexterité à étirer les codes, les faire se mélanger, depuis, Benjamin a joué au rubix cube avec les différents vocabulaires trop propres de la pub et du graphisme.

mardi 11 novembre 2008

Poétique sonore transmusicales de Rennes




En 2008 Iradian aka Yan Nguema nous offre encore une belle poésie d'un musicien jouant avec un hélicon (merci à Simon pour la précision) sur la lune dont sort des oiseaux (non sans rappeler les thés DR Stuarts)
Enfin, à découvrir cette année à cette occasion : le groupe australien Pnau (entre Justice et Daft punk) un groupe qui file la pattate. Inutile de dire que j'adore leur fraise et leu soleil en personnage de mousse.

Hypnoteis ou l'art du collage numérique